CZ balance une position long sur cet altcoin : faut-il le suivre ?

Un trade de test… qui fait décoller deux tokens

Derrière ce petit trade de 0,04 BNB en collatéral, CZ déclenche un mini-séisme. En moins de 7 minutes, le token MUBARAK grimpe de 5,5 %, pendant que l’APX (le token de la plateforme utilisée) s’envole de 26 %. Tout ça parce que monsieur “teste le dimanche”. Il aurait pu aller bruncher, mais non.

Et comme toujours, dès que CZ bouge un doigt, la foule suit. Ce n’est pas la première fois : il avait déjà acheté 20 150 MUBARAK pour 1 BNB, provoquant une montée fulgurante du memecoin dans les classements de la BNB Chain, avec un volume dépassant les 180 millions de dollars.

Alors que lui banalise l’affaire sur X avec un “just testing”, les marchés eux, ne prennent rien à la légère. La simple mention ou interaction de CZ agit comme une étincelle sur de l’essence. Même quand il dit que ce n’est pas sérieux, le marché, lui, prend ça très au sérieux.

MEV ou manipulation déguisée ?

Officiellement, CZ dit qu’il voulait juste vérifier s’il existe encore du MEV (Maximal Extractable Value) sur les perpétuels on-chain. Il fait écho à son sondage de février, où il demandait si la BNB Chain devait réduire ces mécanismes d’extraction. Car oui, même si le MEV est plus connu sur Ethereum, les utilisateurs BNB ont déjà perdu 1,5 milliard de dollars à cause de ces pratiques.

Sauf que pour le moment, aucune donnée, aucun retour, aucun rapport. Juste un buzz massif et des mouvements de prix bien juteux. Ça ressemble plus à un stress test sur le FOMO collectif qu’à une véritable recherche de vulnérabilités.

Le plus croustillant ? Le trade a été fait avec une adresse publique de dons. Niveau transparence, c’est propre. Niveau influence, c’est redoutable. Quand CZ fait du “testing”, le marché s’embrase.

Alors, test technique ? Manipulation déguisée ? Ou juste un dimanche d’ennui pour un milliardaire retraité de la crypto ? En tout cas, les chiffres, eux, ne mentent pas.